Abstract:
"L’impression d’avoir fait une bonne journée est commune
à toutes les personnes actives sur le marché du travail, y
compris celles du corps enseignant. Cependant, les apprentissages
sont plus difficiles à mesurer que le nombre de patientes
et patients soignés, de voitures réparées ou de dossiers traités.
Comment les membres du personnel enseignant peuvent-ils
évaluer qu’ils ont fait une bonne journée de travail ? Lorsqu’un
professeur croit avoir fait une bonne journée, est-ce réellement
le cas ? La question n’est pas anodine, parce que si les personnes
enseignantes ajustent leur pratique en fonction des
« bonnes journées » et que celles-ci ne le sont pas réellement,
le développement professionnel peut être compromis." -- AQPC