Le rapport à la rédaction épicène de futur·es enseignant·es de français, langue d'enseignement et langue seconde



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dc.contributor.author Lamoureux-Duquette, Mylène
dc.date.accessioned 2024-02-19T20:11:17Z
dc.date.available 2024-02-19T20:11:17Z
dc.date.issued 2023
dc.identifier.uri https://eduq.info/xmlui/handle/11515/39388
dc.identifier.uri http://archipel.uqam.ca/id/eprint/17364
dc.description Comprend des références bibliographiques et webographiques fr
dc.description Mémoire présenté comme exigence partielle de la maitrise en didactique des langues fr
dc.description.abstract "Comprendre le rapport à la langue des enseignant·es est essentiel à l’étude des changements linguistiques, sociaux et éducatifs. D’une part, il permet de connaitre la façon dont la langue est utilisée et, d’autre part, la façon dont elle est enseignée. Dans cette recherche, nous examinons et comparons le rapport de futur·es enseignant·es de français (langue d’enseignement au primaire et au secondaire, ainsi que langue seconde) à une pratique linguistique non sexiste et d’actualité connue sous le nom de rédaction épicène. À cette fin, nous avons élaboré un questionnaire en ligne ciblant les quatre dimensions du rapport à l’écrit (praxéologique, idéelle, axiologique et affective [Chartrand et Prince, 2009]), que nous avons adaptées au phénomène de la rédaction épicène. Dans l’ensemble, les répondant·es, qui entretiennent majoritairement des conceptions positives à l’égard de l’égalité des genres et des pratiques inclusives d’écriture, indiquent bien connaitre tous les procédés de la rédaction épicène, en particulier les doublets complets et abrégés. Leur utilisation déclarée est toutefois beaucoup moins forte que leur connaissance déclarée, et les procédés les plus employés sont les mots épicènes et les reformulations. L’ensemble des répondant·es se dit en faveur de l’enseignement de la rédaction épicène à l’école, surtout à des niveaux plus avancés (secondaire, cégep et université). Les futur·es enseignant·es de français sont aussi d’avis qu’à ces niveaux, la rédaction épicène devrait être enseignée tant en langue d’enseignement qu’en langue seconde. Les réponses à certaines questions ouvertes et fermées révèlent tout de même que la plupart des participant·es pensent qu’elle n’est pas facile à utiliser, à enseigner ni à corriger. Les étudiant·es interrogé·es semblent utiliser relativement peu la rédaction épicène dans leurs pratiques personnelles et lors de leurs stages d’enseignement, bien qu’ils et elles projettent, en majorité, de l’employer et de l’enseigner dans leur future classe. D’ailleurs, plus de 85 % des participant·es ont exprimé vouloir l’utiliser davantage dans leurs pratiques didactiques et ont identifié deux moyens principaux pour y parvenir : une formation dans le cadre du baccalauréat en enseignement et des suggestions de formulations inclusives fournies par les logiciels de révision linguistique. Des analyses comparatives n’ont permis de constater aucune différence statistique entre les trois programmes de formation." -- Résumé de l'auteure fr
dc.format.extent 1 fichier PDF fr
dc.format.medium Ressource électronique fr
dc.language.iso fre fr
dc.publisher Université du Québec à Montréal (UQAM) fr
dc.subject Enseignant du collège fr
dc.subject Français (Langue) fr
dc.subject Français (Langue seconde) fr
dc.subject Étudiant à l'université fr
dc.subject Rédaction fr
dc.subject Diversité fr
dc.subject Langue écrite fr
dc.title Le rapport à la rédaction épicène de futur·es enseignant·es de français, langue d'enseignement et langue seconde fr
dc.type Thèse, mémoire ou essai fr


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