Résumé:
Lorsque l'on pense aux cours de la formation générale au collégial, il nous vient immédiatement à l'esprit l'intérêt des étudiants pour ces cours. Ou plutôt son contraire, le désintérêt, puisque, généralement, il y a une minorité d'étudiants qui participe avec plus ou moins d'ardeur et une majorité qui semble indifférente ou carrément hostile de manière silencieuse. Pour quelles raisons la réception des cours de philosophie ou de littérature au collégial, par exemple, diverge-t-elle autant d'un étudiant à l'autre?