« C’est dommage qu’on ne puisse pas faire ça à l’examen! » Quand l’évaluation sommative fait partie intégrante du processus d’apprentissage : la méthode des cas revisitée



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dc.contributor.author Baudry, Pierre
dc.date.accessioned 2018-05-15T14:54:48Z
dc.date.available 2018-05-15T14:54:48Z
dc.date.issued 2017
dc.identifier.issn 0835-8974 fr
dc.identifier.uri https://eduq.info/xmlui/handle/11515/35712
dc.description Un complément en version PDF accompagne cet article : à l’aide d’un exemple issu de sa pratique, l’auteur y explique les aspects importants à considérer lors de la rédaction d’un cas. fr
dc.description.abstract L’expérimentation d’une nouvelle forme d’évaluation faisant l’objet de cet article et mettant à profit la méthode des cas (MdC) découle d’une remarque d’un étudiant qui exprimait un sentiment partagé par ses collègues, à la suite d’une activité récemment réalisée en classe qu’il avait appréciée : « C’est dommage qu’on ne puisse pas faire ça à l’examen! ». L’auteur de cet article, professeur en Techniques d’orthèses et de prothèses orthopédiques, s’est rendu compte un jour que ses évaluations terminales de cours visaient des niveaux taxonomiques cognitifs de base, comme l’acquisition de connaissances, leur compréhension et leur application, plutôt que d’exiger des étudiants qu’ils démontrent leurs capacités d’analyse, de synthèse ou d’évaluation, comme cela est prévu dans les compétences associées à son cours. Pour pallier cette importante lacune et pour évaluer les apprentissages des étudiants selon le niveau taxonomique attendu pour une performance finale, il a alors commencé alors à utiliser la MdC comme stratégie d’évaluation terminale. La MdC lui permet, grâce à des cas authentiques tirés de l’expérience professionnelle de plusieurs collègues, de valider l’atteinte des compétences du cours chez les étudiants par l’évaluation tant du processus que du propos, le produit étant évalué par la fabrication d’une vraie orthèse destinée à un patient réel de la clinique-école du Collège, dans une évaluation à part. Pour bien expliquer l’organisation de cette évaluation terminale, l’auteur décrit d’abord en quoi consiste la MdC et la manière dont il l’applique dans ses cours, comme activité d’apprentissage. Il présente par la suite les modalités de la MdC utilisée comme évaluation terminale, les résultats issus de cette nouvelle façon de faire ainsi que les écueils à éviter lors de sa mise en application, pour guider les professeurs qui voudraient expérimenter la MdC dans leurs cours. fr
dc.format.extent 2 fichiers PDF fr
dc.format.medium Ressource électronique fr
dc.language.iso fre fr
dc.publisher Association québécoise de pédagogie collégiale (AQPC) fr
dc.relation.ispartof Pédagogie collégiale fr
dc.relation.ispartof Pédagogie collégiale Vol. 30, no 4, été 2017 fr
dc.subject Évaluation sommative fre
dc.subject Méthode des cas fre
dc.subject Enseignement collégial fre
dc.subject Méthode d'évaluation fre
dc.subject Instrument d'évaluation fre
dc.title « C’est dommage qu’on ne puisse pas faire ça à l’examen! » Quand l’évaluation sommative fait partie intégrante du processus d’apprentissage : la méthode des cas revisitée fr
dc.type Article de périodique fr


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