Comprendre l’innovation pédagogique : au-delà d’une fin, un acte professionnel



Recherche avancée

Afficher la notice simple

dc.contributor.author Bélec, Catherine
dc.date.accessioned 2024-02-22T13:44:41Z
dc.date.available 2024-02-22T13:44:41Z
dc.date.issued 2024
dc.identifier.issn 0835-8974 fr
dc.identifier.uri https://eduq.info/xmlui/handle/11515/39391
dc.description Comprend des références bibliographiques et webographiques fr
dc.description.abstract "Depuis le début de l’ère moderne, la notion d’innovation est constamment évoquée, et ce, dans une multitude de contextes. Dans ceux-ci, l’innovation est assimilée à un changement positif, à une amélioration. Cette vision est cependant remise en cause par certains regards critiques qui soulignent le caractère discutable de cette assimilation et mettent en garde contre « le changement pour le changement ». En contexte éducatif, on peut observer cette même tension lorsque l’on évoque le concept d’innovation pédagogique (IP). Sur le terrain, trois camps sont généralement observables : les personnes qui prônent l’IP et y voient une solution potentielle aux nombreux défis qui se posent dans les milieux ; celles qui sont méfiantes envers celles-ci et jugent qu’elles ne sont, bien souvent, que des démarches qui coutent beaucoup d’énergie aux principaux individus intéressés, et ce, sans garantie de retour sur investissement ; enfin, le camp des « à gagner » qui, sans être fermés au changement, exigent des preuves d’efficacité ou des données probantes pour considérer une éventuelle implantation. Le fait est que les personnes qui travaillent régulièrement en contexte d’IP pourront reconnaitre que ces trois clans ont, chacun, de bonnes raisons d’adopter de telles positions, que ces raisons soient politiques, scientifiques, historiques ou pragmatiques. Dans toutes ces prises de position, une constante est observable : l’IP est associée à sa finalité, elle-même étant généralement associée à une amélioration de l’apprentissage ou de la réussite. Le premier camp la souhaite, le deuxième doute de l’atteindre et le dernier tient à constater l’atteinte de ce but avant de se commettre. Cet article propose d’envisager l’IP sous un angle différent : celui d’un acte professionnel. Or, un acte professionnel ne peut se résumer à sa finalité : il se situe dans des situations professionnelles complexes, tissées de contraintes, d’opportunités et de limites, où l’individu doit parvenir à déployer un « agir compétent » afin de tenter, certes, d’atteindre ses objectifs, mais aussi de respecter certains processus et intentions." -- AQPC fr
dc.format.extent 1 fichier PDF fr
dc.format.medium Ressource électronique fr
dc.language.iso fre fr
dc.publisher Association québécoise de pédagogie collégiale (AQPC) fr
dc.relation.ispartof Pédagogie collégiale fr
dc.relation.ispartof Pédagogie collégiale Vol. 37, no 2, hiver 2024 fr
dc.subject Enseignement collégial fr
dc.subject Innovation en éducation fr
dc.subject Recherche en éducation fr
dc.subject Résolution de problème fr
dc.subject Pédagogie fr
dc.subject Milieu scolaire fr
dc.title Comprendre l’innovation pédagogique : au-delà d’une fin, un acte professionnel fr
dc.type Article de périodique fr


Fichier(s) pour ce document

Ce document provient de la/les collection(s) suivante(s)

Afficher la notice simple